DISPARITION D’ÉMILIE NOÉ, RÉSISTANTE DÉPORTÉE DE CÔTE D’OR
“Dès 1943, Mimi, comme aimaient l’appeler ceux qui l’ont connue, et sa famille deviennent acteurs de la résistance. Son père, Henri Fournier, ravitaille le maquis tandis qu’Emilie et sa sœur opèrent comme agents de liaison. Déportée en 1944, elle est libérée des camps de concentration en avril 1945 par l’armée américaine. Dès 1990, la résistante […]
“Dès 1943, Mimi, comme aimaient l’appeler ceux qui l’ont connue, et sa famille deviennent acteurs de la résistance. Son père, Henri Fournier, ravitaille le maquis tandis qu’Emilie et sa sœur opèrent comme agents de liaison. Déportée en 1944, elle est libérée des camps de concentration en avril 1945 par l’armée américaine.
Dès 1990, la résistante partage son histoire avec les jeunes des collèges et lycées de Côte-d’Or” explique la municipalité de Dijon.
Année après année, Emilie Noé perpétuait ce devoir de mémoire, participant activement à l’organisation du Concours National de la Résistance et de la Déportation, et en offrant son précieux témoignage en héritage aux jeunes générations.
“Assurer la continuité de l’histoire, faire du souvenir une arme contre l’intolérance et lutter contre l’oubli, tels étaient les combats qui animaient Emilie Noé” conclut la ville de Dijon.
Vous souhaitez vous exprimer sur un sujet ?