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LA PREFECTURE CONTRÔLE LA BASE DE LOISIRS DE SAINT-LEU-D’ESSERENT

Mercredi dernier, la préfète de l’Oise, Corinne Orzechowski s’est rendue, accompagnée de plusieurs services de l’État, dans le sud du département pour procéder à la vérification des installations ainsi qu’au contrôle de la qualité des eaux de baignade. L’an dernier, 192 inspections ont été menées pendant la période estivale au titre des contrôles du secteur touristique.

La Direction départementale de la protection des populations (DDPP) et le Service départemental à la jeunesse, à l’engagement et aux sports (SDJES) ont organisé un contrôle pédagogique, le 27 juillet, en présence de Corinne Orzechowski, préfète de l’Oise, sur la base de loisirs de Saint-Leu-d’Esserent, près de Précy-sur-Oise.

Ils avaient pour mission de surveiller, notamment, la conformité des activités de loisir, la sécurité des produits alimentaires et d’organiser le suivi des accueils collectifs des mineurs.

La base de loisirs fait également l’objet de contrôles réguliers de la part de l’Agence régionale de santé (ARS) des Hauts-de-France. « Une baignade en eau dégradée peut conduire à des affections, le plus souvent bénignes comme des pathologies de la sphère oto-rhino laryngée, de l’appareil digestif (gastro-entérite) ou des yeux », précise la préfecture de l’Oise. Deux autres sites sont également concernés dans le département picard : le plan d’eau du Canada à Beauvais et la base nautique de Longueil-Sainte-Marie.

Le secteur touristique dans le viseur

L’an dernier, les agents de la DDPP ont réalisé 192 inspections dans le secteur touristique dont 89 dans des restaurants, une cinquantaine dans des commerces alimentaires et deux dans les parcs d’attractions. Les marchés de Senlis et de Chantilly ont également été contrôlés.

« Depuis le début de l’année, 80 contrôles dans le secteur alimentaire ont été effectués suivis de 54 suites administratives comprenant trois projets d’arrêtés préfectoraux de fermeture soumis à la procédure de contradictoire, des injonctions et avertissements. Par ailleurs, deux golfs, un hôtel et une dizaine de commerces ont été visités se traduisant par des mesures de police administrative (défaut d’affichage des prix, indisponibilité de produits, défaut d’information concernant le médiateur de la consommation…) ».

Crédit photos : EWG3D – Getty Images.

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