LA SEINE-ET-MARNE, TERRE DE PRÉPARATION DE L’ATHLÉTISME FRANÇAIS
Les installations sportives de Seine-et-Marne ont tapé dans l’œil du président de la Fédération française d’athlétisme (FFA). Au terme de la signature de la convention entre le conseil départemental et la fédération, André Giraud n’a pas caché son enthousiasme. « Il s’agit d’une excellente nouvelle pour l’athlétisme français et les athlètes de l’équipe de France, […]
Les installations sportives de Seine-et-Marne ont tapé dans l’œil du président de la Fédération française d’athlétisme (FFA). Au terme de la signature de la convention entre le conseil départemental et la fédération, André Giraud n’a pas caché son enthousiasme.
« Il s’agit d’une excellente nouvelle pour l’athlétisme français et les athlètes de l’équipe de France, qui pourront désormais profiter de la qualité des structures d’entraînement réputées du département pour préparer les grandes échéances à venir. Dans le contexte de cette olympiade particulièrement cruciale pour le sport français, il est en effet essentiel de tout mettre en œuvre pour la réussite de l’équipe de France d’athlétisme, premier sport olympique », a-t-il déclaré. « Je me réjouis également pour les jeunes athlètes du département, qui pourront désormais assouvir leur passion aux côtés de nos plus grands champions ».
En effet, les licenciés de la FFA et les élèves des sections sportives scolaires de Meaux, de Bussy-Saint-Georges ou de Savigny-le-Temple, de la section olympique du collège Arnaud-Beltrame de Vulaines-sur-Seine et des sections sportives des lycées Couperin à Fontainebleau et Uruguay à Avon bénéficieront de sessions d’entraînement avec les athlètes de haut niveau.
« La Seine-et-Marne est un territoire disposant d’infrastructures de qualité, tant sur le plan technique que de l’hébergement ou du suivi médical, à proximité de Paris et des aéroports, accessible et sécurisé » souligne Martine Bullot, vice-présidente du conseil départemental en charge des sports et de la jeunesse. La FFA va percevoir un soutien financier de 50 000 euros par an, d’ici à 2024, de la part de la collectivité territoriale.
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