MACABRE DÉCOUVERTE À CORTAMBERT
Près de Cluny, en Saône-et-Loire, un nouveau cheval a été retrouvé mort, mutilé et l’oreille droite coupée, le week-end dernier. Ce décès intervient après une série d’attaques mortelles visant des équidés dans plusieurs départements. Les motivations de ces actes abjects demeurent inconnus des enquêteurs. Après la Somme, le Puy-de-Dôme, l’Aisne, la Vendée, la Moselle, la […]
Près de Cluny, en Saône-et-Loire, un nouveau cheval a été retrouvé mort, mutilé et l’oreille droite coupée, le week-end dernier. Ce décès intervient après une série d’attaques mortelles visant des équidés dans plusieurs départements. Les motivations de ces actes abjects demeurent inconnus des enquêteurs.
Après la Somme, le Puy-de-Dôme, l’Aisne, la Vendée, la Moselle, la Loire, le Lot et l’Oise, le département de la Saône-et-Loire a été, lui aussi, le théâtre d’une macabre mise en scène. Dans la commune de Cortambert, dans le Mâconnais, une pouliche d’un an et demi a été retrouvée morte dans un pré, lacérée à l’encolure et mutilée au niveau de l’appareil génital. L’oreille droite a été, là aussi, sectionnée et prélevée comme un « trophée ».
Cet acte de barbarie est le dernier en date d’une série d’attaques mortelles d’équidés, principalement des chevaux, mais aussi des ânes et des poneys, commencée au début de cette année. À chaque fois, le ou les auteurs s’en prennent à des animaux à l’approche facile.
Saisi de l’enquête, le Service central du renseignement territorial (SCRT) ignore les motivations de ces auteurs. Depuis 2016, plusieurs cas ont été recensés, en Europe, notamment en Belgique et en Allemagne. De nombreuses thèses ont été avancées, en l’absence d’arrestation : rites satanistes ou sectaires, superstition, fétichisme, défis sur le « dark web »…
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