ROGER BAILLET DÉVOILE L’HISTOIRE D’UNE ÉLÈVE CACHÉE D’ANTONIO VIVALDI DANS SON DERNIER ROMAN
Populaire et célèbre grâce à de nombreuses œuvres instrumentales telle que Les Quatre Saisons, Antonio Vivaldi (1678-1741), à son époque surnommée « il Prete rosso » (Le Prêtre roux), est reconnu comme l’un des plus grands génies musicien du siècle des Lumières. Son influence, en Italie tout comme dans l’Europe et le monde entier été incontestable. Mais […]
Populaire et célèbre grâce à de nombreuses œuvres instrumentales telle que Les Quatre Saisons, Antonio Vivaldi (1678-1741), à son époque surnommée « il Prete rosso » (Le Prêtre roux), est reconnu comme l’un des plus grands génies musicien du siècle des Lumières. Son influence, en Italie tout comme dans l’Europe et le monde entier été incontestable.
Mais c’est à Venise, au sein de l’école de la Pietà, qu’Antonio Vivaldi s’exerce en tant que compositeur pour libérer sa créativité. En effet, l’école n’abritait que des jeunes filles orphelines cloîtrées presque comme des religieuses, dont les plus douées musicalement recevaient une formation de la part du musicien, et lorsque ces dernières venaient à se produire pour un public venu de l’Europe entière tant la réputation du chef d’orchestre était grande, celles-ci étaient cachées derrière un grillage, car c’était une époque où les femmes ne pouvaient pas se produire publiquement sur scène.
C’est donc au coeur de cet orchestre que l’auteur, Roger Baillet, nous présente l’histoire de Camille, sous la forme d’un journal accompagné de témoignages dans son roman « Vivaldi, ou L’évanescence de l’être », une des élèves cachées de Vivaldi au sein de l’école de la Pietà. Une œuvre de qualité, menée par une plume qui allie finesse et légèreté, pleine d’Histoire.
Synopsis du livre
Venise, printemps 1709 : la ville bruisse de toutes ses rumeurs musicales. Une petite fille de six ans, Camille, vient d’être recueillie à la Pietà, institution charitable, où l’on enseigne aux orphelines la musique et le chant. Très vite, ses talents de violoncelliste lui permettent d’entrer dans cette élite anonyme des musiciennes de la Pietà. Elève d’Antonio Vivaldi, avec qui elle tisse une amitié filiale, elle porte témoignage dans son journal, des fêtes solennelles et des petits bonheurs du jour, de ce qui reste quand s’évanouit l’or des faux-semblants.
Plus d’informations sur le site de l’auteur : www.rogerbaillet.fr
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