incendies

Etudiant à l’IICP, journaliste en devenir, je vous propose de revenir ensemble très rapidement sur les actualités chaudes de la semaine passée : De l’environnement à la politique en passant par le sport et la culture. Voici mes rubriques condensées, pour vous, lecteurs.

Etudiant à l’IICP, journaliste en devenir, je vous propose de revenir ensemble très rapidement sur les actualités chaudes de la semaine passée : De l’environnement à la politique en passant par le sport et la culture. Voici mes rubriques condensées, pour vous, lecteurs.

Dès l’annonce de températures atteignant les 40° le week-end dernier, la préfecture de Seine-et-Marne et l’ONF (Office national des forêts) ont pris une série de mesures pour prévenir les risques d’incendie et combattre sans délai les éventuels départs de feu. Deux d’entre eux ont ainsi été jugulés avec succès.

Imaginé par une start-up de Compiègne, ce dispositif va permettre d’orienter les sapeurs-pompiers de l’Oise en cas d’intervention, lors d’un incendie ou une inondation, dans un établissement abritant des œuvres d’art. Le premier QR code dédié à la protection du patrimoine a été installé dans l’église de Venette.

Et de 4 ! Lundi, deux autres restaurants de page, situés à Sainte-Luce, ont été la proie des flammes. Les deux premiers avaient été incendiés au Carbet dans la nuit du 27 au 28 décembre. Entretemps, d’autres restaurateurs du Carbet ont reçu un courrier de menaces.

Des barrages routiers improvisés puis incendiés, c’est le tout venant des interventions des policiers et des pompiers ces nuits dernières. Mais il y a aussi le sac et le feu mis à des bâtiments municipaux à Basse-Terre ou Sainte-Anne. Des exactions qui signent la fin du mouvement social, alors que l’on s’interroge sur le lien de ses leaders avec le racket organisé.

Le plus gros barrage de la Guadeloupe, symbole du mouvement, a été démantelé. Dans le même temps, la zone du couvre-feu est réduite, de même que sa durée horaire. Mais il est prolongé jusqu’à vendredi, dans les communes concernées.

Rétabli récemment du fait des violences urbaines engendrées par la grève générale, le couvre-feu est instauré de 18h à 5h du matin dans tout l’archipel. Il devait initialement être levé mardi. Mais dans un contexte de tension, voire d’escalade, le Préfet a décidé sa prolongation jusqu’au samedi 28 novembre.

Dans les rangs émeutiers certains sont armés et n’hésitent pas à tirer sur les gendarmes. Le gouvernement tente de faire la distinction entre le mouvement de contestation de l’obligation vaccinale et les violences urbaines, qui seraient le fait de « voyous » en « bandes ».

Dans plusieurs villes de la Guadeloupe, pour protester contre le couvre-feu, des manifestants ont formés des barrages dans la nuit de samedi à dimanche, improvisé des barricades, incendié des voitures et provoqué les forces de l’ordre.